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1856… Les fils de saint Dominique s’installent à Lyon, une quinzaine d’années après la restauration de l’ordre en France avec pour objectif de vivre selon la « stricte observance ». 1863, le cardinal de Bonald consacre la chapelle conventuelle, qui fait l’objet d’un programme iconographique original dans les décennies suivantes.La journée d’études organisée par le couvent et la paroisse du Saint-Nom de Jésus et l’équipe Religions, Sociétés Et Acculturation du Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes pour le 150e anniversaire de la consécration de l’édifice a permis de mieux comprendre, dans le contexte lyonnais (Christian Sorrel), un lieu et une histoire en étudiant le groupe des fondateurs du couvent (Tangi Cavalin et Nathalie Viet-Depaule, Isabelle Parizet) et le contrecoup des événements de 1870 (Bruno Carra de Vaux), en analysant l’architecture et les vitraux (Philippe Dufieux, Catherine Guillot) et tentant de ressaisir les lignes de force du projet (Jean-Marie Gueullette). Jean-Marie Gueullette, o.p., IntroductionChristian Sorrel, Le catholicisme lyonnais au milieu du XIXe siècle : dynamisme et intransigeanceTangi Cavalin, Nathalie Viet-Depaule, Un couvent pour la « Stricte Observance ». Les fondateurs du Saint-Nom de Jésus à LyonIsabelle Parizet, L’atelier de vitraux du couvent du Saint-Nom de Jésus à Lyon. Relecture prosopographique des archivesBruno Carra de Vaux, o.p, L’expulsion des Dominicains (Septembre 1870) Philippe Dufieux, Le Saint-Nom de Jésus de Lyon et les chantiers catholiques contemporainsCatherine Guillot, Les verrières du Saint-Nom de Jésus, héritières d’une conception collective de l’art établie dans les années 1830-1840 ?Jean-Marie Gueullette, o.p., « Par la parole et par l’exemple » : Exprimer l’identité dominicaine par l’image et le texteAnnexesCompte-rendu de l’inauguration de l’église par le P. DidonLa chapelle du Rosaire au couvent de LyonProgramme iconographique des vitraux du Saint-Nom de Jésus